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Ce tableau de compétences rassemble les objectifs prioritaires d'un enseignement de la compréhension.
Les activités proposées, données à titre d'exemples, visent à aider les enseignants à :
Repérer les informations explicites : identifier les mots (ou groupes de mots) du texte qui répondent de manière directe à une question simple
Effectuer les inférences nécessaires pour combler les « blancs du texte »:
Identifier les personnages :
Repérer la chronologie et les lieux (des récits) :
Repérer, si nécessaire, le contexte spatio-temporel d’un texte explicatif
Identifier les liens logiques :
Mobiliser ses connaissances syntaxiques pour comprendre des phrases simples (S – V – C)
Jouer avec la langue :
Mobiliser ses connaissances lexicales :
Reconnaître le type du texte, puis
Les tableaux répondent à deux objectifs :
Ces éléments peuvent également servir à choisir ou adapter un texte pour un ACT.
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Cette compétence est très générique et concerne deux temps forts d’une lecture :
Travailler :
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Cette compétence est mise en oeuvre lorsque nous devons sélectionner des informations explicitement présentes dans le texte et qui concourent, chacune séparément, à sa compréhension.
La perception du sens littéral participe du respect du texte et des propos de l’auteur. La perception des Informations explicites participe également du traitement des inférences internes.
Identifier un mot, ou un groupe de mots, clairement indiqué :
Identifier un mot, ou un groupe de mots, clairement indiqué :
Identifier un mot, ou un groupe de mots, clairement indiqué :
Travailler :
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Elles sont présentes partout, dans tous les textes. Elles engagent une procédure cognitive qui consiste à mettre en relation des informations éparpillées, générant une proximité sémantique pour construire le sens.
La « coagulation » des informations fait émerger un nouveau sens. Si les informations sont dans le texte, à proximité ou éloignées, l’inférence est interne. Si des informations du texte nécessitent d’être rapprochées d’une connaissance externe liée à l’expérience, l’inférence est externe.
La mise en oeuvre des inférences est essentielle à l’appropriation du texte.
Mettre en relation logique deux informations proches et corrélées :
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Chaque type de texte s’organise suivant une logique liée à sa structure, ses caractéristiques et sa fonctionnalité. Elle peut s’appuyer sur des éléments formels comme des petits mots de liaison, l’opposition, la causalité, la conséquence, la concession, ou bien sur des figures de style, des images, des implicites, ou encore une rhétorique, une intuition du développement du texte.
Elle impose un effort puisqu’elle évolue au fur et à mesure de chaque lecture dans sa singularité.
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Ils sont intimement liés pour donner du sens au texte, en particulier de la cohésion au fur et à mesure de la lecture, et pour organiser la cohérence générale des propos.
La perception des lieux et leur changement, la gestion du temps, de la chronologie, des relations temporelles verbales et non verbales, permettent de situer dans le monde spatio-temporel le sujet du texte, son traitement, son évolution et sa l’évolution de sa représentation.
Espace et temps créent le mouvement.
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Par la syntaxe et la mise ensemble des mots dans un certain ordre et avec des règles communément partagées, l’auteur contraint une prise en compte du sens qu’il génère. La syntaxe est révolutionnaire mais elle impose le respect de ses principes.
Dans la pratique, on cherchera surtout à vérifier que les groupes fonctionnels sont reconnus (qui, quoi, quand, où…), que l’ordre des mots est respecté, que les contraintes morphologiques sont appliquées (anaphores, accords…) et que les mots outils sont connus et correctement exploités.
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La maîtrise d’un lexique suffisant, son activation, ou la perception du sens qui convient dans un contexte donné, sont absolument essentielles pour comprendre des écrits.
Non seulement il est souhaitable d’étendre le dictionnaire personnel actif et passif, mais il faut également maîtriser la mécanique morphologique de fonctionnement des mots en français pour utiliser au mieux ceux dont on dispose et percevoir le potentiel de ceux qu’on ne connait pas.
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Reconnaître les personnages qui animent un texte narratif, une histoire, qu’ils soient principaux, secondaires, toujours ou partiellement présents, permet de construire la représentation d’une mise en scène et de son orchestration à travers le suivi de leurs interactions.
Or, le suivi des personnages et les diverses dénominations qui peuvent être choisies par l’auteur pour les représenter (chaine anaphorique) nécessitent attention, mémorisation, connaissance de la morphologie, de l’orthographe, du lexique et de la grammaire.
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Les textes polymorphes proposent des informations, des données, des illustrations qui vont ensemble, en complément, en redondance, et même parfois en concurrence ou en contradiction.
Le traitement sélectif de ces données en textes, images, schémas, plans, frises, cartes, etc., dans une organisation de page spécifique, impose une mise en commun, la mise en oeuvre d’un raisonnement déductif, inductif et synthétique et l’activation d’une démarche rétrospective où toute nouvelle information est comparée au déjà su.
Cela représente une charge cognitive importante, un effort qui s’apprend, pour être ensuite appliqué par transfert aux diverses situations de lecture.
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